Nous avions à bord une balise de détresse (EPIRB) expirée depuis novembre 2005 et appartenant apparemment à un...
Dernier weekend où nous aurons la Volvo avec nous et nous nous sommes assurés que le voyage ne...
Nous avons récupéré le nouveau génois de M ce matin à Ste-Marthe, avons fait un détour par Boisbriand pour prendre les dernières pièces moteur qui nous manquaient et, en revenant sur Montréal, avons reçu un coup de fil du papa de Michel qui venait, après beaucoup de difficultés, de trouver quelqu’un pour sabler et vernir les planchers de sa maison. Donc direction Ville Mont-Royal pour vider deux étages de meubles! Après nos quatre vaccins de la veille, nous avions déjà les bras un peu amochés, mais quand il faut, il faut. C’est déjà assez difficile de trouver un ouvrier disponible, on ne va tout de même pas courir le risque que la maison ne soit pas prête pour les travaux.
Épuisés, mais soulagés que ce soit complété, nous avons passé le reste de l’après-midi à combattre le trafic, infernal, afin de quitter l’ile; pour ensuite faire quelques arrêts et courses en route pour le bateau. Finalement arrivés, nous étions bien évidemment très excités de hisser le nouveau génois. La météo annonçant un vent de 7 à 17 nœuds demain matin, nous avons préféré profiter du très faible vent qui soufflait ce soir pour remplacer l'ancien par le nouveau. Mais, fidèle à elle-même, M avait d’autres plans pour nous.
Très rapidement, il est devenu clair que l’ancien génois ne descendrait pas sans une bonne bagarre. Il coinçait à la jonction de la première et de la deuxième extrusion, soit à une douzaine de pieds de la tête de mât. Quelques tours de winch de trop auront eu raison de ce qui pouvait rester de jeu dans le mécanisme d’émerillon (halyard swivel) et le tout s’est retrouvé bien figé tout en haut du mât... Ai-je besoin de spécifier que M a eu droit à un deuxième baptême ce soir?
J’ai donc eu le temps de regarder le soleil se coucher du haut du mât pendant qu’à grands coups de vise grip (rendu en haut, on prend ce qui est disponible) et de winch nous débloquions le swivel. Finalement, et c’était mon impression initiale, une toute petite vis de jonction de moins d’un centimètre de longueur avait commencé à se dévisser et frottait dans la sleeve en caouctchouc à l’intérieur du swivel. Avec la tension initiale, nous venions de l’encastrer dans le caoutchouc.
Malgré les ecchymoses, la peau arrachée et les muscles qui me tuent, je dois reconnaitre que cette fois, ce n’est pas de la faute de M, mais bien de la nôtre. Lorsque nous avons remplacé le gréement au début de l’été, nous étions tous là (pros et amateurs) à nous demander pourquoi Profurl était le seul fabricant d’enrouleurs à recommander de tremper toutes les vis de jonction (set screws) dans le Loctite® avant d’assembler les extrusions. Le consensus avait alors été que c’était mieux d’assembler à sec, sans Loctite ®, afin de pouvoir plus facilement démonter l’enrouleur si jamais le besoin se présentait. De toute façon, aucune autre compagnie n’en recommandait l’application. Nous n’avions même pas pensé que les vis manquantes, et il en manquait pas mal, avaient possiblement pu se dévisser et tomber d’elles-mêmes. Les instructions étaient pourtant si claires, mais personne n’a fait le lien.
C’est fou comme la perspective change à 50 pieds dans les airs et que les liens se font beaucoup plus rapidement. Alors que je vérifiais chacune des 27 (je pense) autres vis de l’enrouleur, il m’est apparu très clairement pourquoi les ingénieurs de chez Profurl suggéraient d’ajouter le Loctite ® : j’aurais pu être tranquillement entrain de souper au lieu de serrer des vis dans le noir et dans le vide. Première chose sur la liste lorsque nous démâterons dans trois semaines : Loctite ® sur CHACUNE des vis de l’enrouleur.
Demain matin, retour dans les airs; il faut ajuster le nouveau haubanage. Après avoir vu ses premiers 25 nœuds sous voile la semaine dernière, l’acier des câbles a probablement fini de s’étirer et le gréement est maintenant un peu mou. Il est temps de tout remettre en place et sous tension. Cette fois, vous pariez que nous suivrons les instructions à la lettre?
Pas de photo ce soir; nous n’avions ni l’envie, ni le temps de poser pour la postérité. Mais vous pouvez me croire, le nouveau génois est trrrrrrès sexy!
Besoin d’un lexique? Voir page 2 du document de Profurl ici.
Épuisés, mais soulagés que ce soit complété, nous avons passé le reste de l’après-midi à combattre le trafic, infernal, afin de quitter l’ile; pour ensuite faire quelques arrêts et courses en route pour le bateau. Finalement arrivés, nous étions bien évidemment très excités de hisser le nouveau génois. La météo annonçant un vent de 7 à 17 nœuds demain matin, nous avons préféré profiter du très faible vent qui soufflait ce soir pour remplacer l'ancien par le nouveau. Mais, fidèle à elle-même, M avait d’autres plans pour nous.
Très rapidement, il est devenu clair que l’ancien génois ne descendrait pas sans une bonne bagarre. Il coinçait à la jonction de la première et de la deuxième extrusion, soit à une douzaine de pieds de la tête de mât. Quelques tours de winch de trop auront eu raison de ce qui pouvait rester de jeu dans le mécanisme d’émerillon (halyard swivel) et le tout s’est retrouvé bien figé tout en haut du mât... Ai-je besoin de spécifier que M a eu droit à un deuxième baptême ce soir?
J’ai donc eu le temps de regarder le soleil se coucher du haut du mât pendant qu’à grands coups de vise grip (rendu en haut, on prend ce qui est disponible) et de winch nous débloquions le swivel. Finalement, et c’était mon impression initiale, une toute petite vis de jonction de moins d’un centimètre de longueur avait commencé à se dévisser et frottait dans la sleeve en caouctchouc à l’intérieur du swivel. Avec la tension initiale, nous venions de l’encastrer dans le caoutchouc.
Malgré les ecchymoses, la peau arrachée et les muscles qui me tuent, je dois reconnaitre que cette fois, ce n’est pas de la faute de M, mais bien de la nôtre. Lorsque nous avons remplacé le gréement au début de l’été, nous étions tous là (pros et amateurs) à nous demander pourquoi Profurl était le seul fabricant d’enrouleurs à recommander de tremper toutes les vis de jonction (set screws) dans le Loctite® avant d’assembler les extrusions. Le consensus avait alors été que c’était mieux d’assembler à sec, sans Loctite ®, afin de pouvoir plus facilement démonter l’enrouleur si jamais le besoin se présentait. De toute façon, aucune autre compagnie n’en recommandait l’application. Nous n’avions même pas pensé que les vis manquantes, et il en manquait pas mal, avaient possiblement pu se dévisser et tomber d’elles-mêmes. Les instructions étaient pourtant si claires, mais personne n’a fait le lien.
C’est fou comme la perspective change à 50 pieds dans les airs et que les liens se font beaucoup plus rapidement. Alors que je vérifiais chacune des 27 (je pense) autres vis de l’enrouleur, il m’est apparu très clairement pourquoi les ingénieurs de chez Profurl suggéraient d’ajouter le Loctite ® : j’aurais pu être tranquillement entrain de souper au lieu de serrer des vis dans le noir et dans le vide. Première chose sur la liste lorsque nous démâterons dans trois semaines : Loctite ® sur CHACUNE des vis de l’enrouleur.
Demain matin, retour dans les airs; il faut ajuster le nouveau haubanage. Après avoir vu ses premiers 25 nœuds sous voile la semaine dernière, l’acier des câbles a probablement fini de s’étirer et le gréement est maintenant un peu mou. Il est temps de tout remettre en place et sous tension. Cette fois, vous pariez que nous suivrons les instructions à la lettre?
Pas de photo ce soir; nous n’avions ni l’envie, ni le temps de poser pour la postérité. Mais vous pouvez me croire, le nouveau génois est trrrrrrès sexy!
Besoin d’un lexique? Voir page 2 du document de Profurl ici.
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